La communication inclusive invisible
Pourquoi opter pour une communication inclusive « invisible » ?
✅ Elle permet de centrer l’attention du public sur le fond du message plutôt que sur sa forme.
✅ Elle permet de ne pas faire peur à un public général non sensibilisé aux problématiques liées à la communication inclusive.
🔍 Comment écrire de manière inclusive sans marque qui fait débat ?
✅ Le dédoublement, comme « ils et elles » ou « les lecteurs et lectrices »
🚫 Limite : Ces expressions restent très binaires et excluent les personnes n’utilisant pas de pronoms féminins ou masculins.
✅ Les mots épicènes qui renvoient à des groupes, tels que « le lectorat »
🚫 Limite : Ils compliquent l’identification pour le public cible en ne faisant pas référence de manière directe à des individus.
✅ Les mots épicènes qui renvoient à un individu comme « personne »
🚫 Limites : Il n’en existe pas beaucoup et ils deviennent rapidement répétitifs. Certains perdent aussi petit à petit leur qualité épicène dans l’usage, comme « membre ».
✅ La reformulation qui évite le genre grammatical, comme l’utilisation de verbes avec l’auxiliaire « avoir », ou le recours à l’impératif.
🚫 Limite : Obtenir un texte naturel demande beaucoup d’efforts et d’attention, mais cela reste très efficace.
⚠ Ces solutions doivent être complémentaires pour fonctionner.
❓ D’autres conseils pour rendre un texte plus inclusif de manière discrète ?